Revisionisme sur les chambres à Gaz – par Louis Darquier de Pellepoix

Dans une interview de Louis Darquier de Pellepoix comissaire général aux questions juives sous le régime de Vichy en 1942, l’express interroge l’ex comissaire sur sa responssabilitée mais également sur l’existance des chambres à gaz.

Journaliste: Je suis venu vous voir pour essayer de comprendre ce qui se passait dans une tête comme la vôtre il y a trente-six ans.
> Vous êtes un agent de Tel-Aviv.

Un agent de Tel-Aviv pour autant que vous l’intéressiez, ne perdrait pas son temps à vous poser des questions.
> En tout cas, vous, vous perdez votre temps. Je n’ai rien à vous apprendre.

Vous vous trompez. Vous m’avez déjà appris quelque chose d’essentiel : Vous êtes un cas à peu près unique. Vous ne dites pas : » J’avais des ordres. je les ai éxécutés. » Votre positions ne semble pas avoir changé depuis 1942.
>Vous croyez donc que la question juive date de 1942! Mais la question juive est un problème millénaire…Déjà, au Moyen Age, l’occident, la chrétienté luttaient contre la progression tentaculaire des Juifs. L’étoile jaune, c en’est pas nous qui l’avons inventée. Si, au XII siècle, déjà, on a éprouvé le bsoin de faire porter la rouelle aux juifs, c’est qu’il y avait une raison. Quant à notre histoire récente, elle est entièrement conditionnée par la recherche de solutions au problème juif. Tenez, une question : est ce que vous vous êtes jamais demandé pour quelle raison il a fallu attendre si longtemps pour que soit appliquée la Déclaration de Balfour ? est-ce que vous avez compté les guerres compté les morts pour en arriver là ou nous sommes, aujourd’hui : l’établissement des Juifs sur un territoire litigieux ? Moi, lorsque le Maréchal m’a placé à la tête du Comissariat aux affaires juives, je me suis fixé un premier but. Un but humaniataire, notez le bien: rendre la situation des Juifs français aussi confortable que possible.

Vous n’êtes pas sérieux. A qui esperez vous faire croire ça ?
>J’oubliaus que vous êtes une malheureuse vicitme de la propagande juive. Et la propagande juive a toujours été fondée sur le mensonge. Toujours… toujours .. je disais donc cei: pendant les mois où j’ai été commissaire, j’ai passé le plus clair de mon temps à essayer d’éviter des ennuis à des juifs. Il s’agissait de Juifs Français, cela s’entend. Je prend un exemple. Entre nous, est ce que vous croyez qu’il était necessaire de déporter la famille Debré ?

Non. Absolument pas. Ni les Debré ni personne…
> Le père Debré est un demi-juif, c’est une affaire entendue. Mais enfin, ces gens-là ont des états de service. ce sont des Juifs qui ont choisi la France? Les déporter aurait été profondément injuste. Je vous ai cité ce cas-là, mais il y en a bien d’autres. D’une manière générale, je voulais que les Juifs français fassent bande à part.

Vous pouvez consulter la suite de l’interview dans « les cahiers de L’express » N°3 ( Les années Noires 1944 / 1945 )

Traque des Nazis : Aloïs Brunner – L’ingénieur de la Solution Finale

Ancien Nazi d’origine autrichienne, l’un des »ingénieurs de la solution finale » en association avec d’Adolf Eichman. Jugé par contumace le 2 mars 2001 par la Cour d’assises de Paris Aloïs Brunner avait déjà été condamné à mort par contumace en France en 1954.

Il avait alors trouvé refugie en Syrie dans l’année 1954, le gouvernement Syrien à eux recourt à son expérience pour mettre en place des techniques de torture dans les prisons syriennes.

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Anciens SS – gardiens de camps – le procès des complices – Then and Now ( Demjanjuk )

Le mercredi 23 decembre 2009 le monde annonçait le procès d’ancien complices des Nazis, se procès vient completer la longue suite des anciens SS des einzatsgruppen, des gardiens de camps, des collaborateurs ext ….

Actuellement on compte pas loin de 692 00 noms de personnes soupçonnées d’avoir participé aux crimes nazis ou d’en avoir été des témoins directs ou complices. Tous ont été consignés et sont archivé en vu d’un future procès après mise en examen, ou également procès par contumace.
Dans toutes ses affaires de condamnations, la difficulté pour juger tout ses anciens complices étaient purement juridique ou simplement que trop d’allemands y auraient été mêles. De plus pendant les dernières décennies et jusqu’à la chute du mur de Berlin, les plus petits maillon de la machine d’extermination nazi, les receveurs d’ordre n’étaient pas considéré comme coupable. Depuis tout se temps ils vivaient un existence paisible aux quatre coins du monde.


Heinrich Boere lors de son procès.

Jugé pour le meurtre de trois civils tués en représailles à une attaque de résistants contre les forces allemandes aux Pays-Bas durant la Seconde Guerre mondiale.

Lors de ses procès spectacles ( il ne faut pas se voiler la face, condamner quelqu’un 60 ans après avoir utilisé pour certain leurs services c’est un véritable scandale et cela n’a pour but que de se donner bonnes conscience à ceux qui les ont protégé et couvert pendant plus d’un demi siècle ) on parle souvent des expatriés en Amérique du sud mais nombre de nazi ou collaborateurs actifs ont trouvé refuge au « pays de la liberté et des droits de l’homme » qui sont les États-Unis d’Amérique eux même.
Depuis quelques années on peut voir resurgir de loin des personnes qui ont vécu pendant des décennies paisiblement avant de se faire rattraper par leur passée. Pour ceux qui sont encore vivant.
Le procès « Demjanjuk » est celui de John Demjanjuk.


John Demjanjuk « then and now« 

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