Les travailleurs du service du travail obligatoire (STO) relève les prisionniers de 1940 en Allemagne

Affiche de propagande en faveur du STO

Les premiers travailleurs pour le travail en Allemagne spnt partis. Ils sont 12 000 à avoir accepté la « relève » des prisonniers de 1940.
Pierre Laval à put obtenir des autorités allemande, et notamment de Fritz Sauckel, que, pour trois travailleurs acceptant de se mettre au services des usines allemandes et de contribuer ainsi à augmenter leur production, un prisonniers français revienne au pays.
Cette expatriation volontaire pour les premiers estime Pierre Laval, est préférable à une réquisition de la main-d’oeuvre de la zone occupée.

Les premiers retour seront attendu pour le moi d’aout.

Affiche de propagande en faveur du STO

Le service du travail obligatoire (STO) provoqua le départ dans la clandestinité de près de 200 000 jeunes réfractaires, dont environ un quart gagnèrent les maquis et donc la résistance.
Cette apport considérable pour la Résistance eut du mal à être géré, dans toutes les régions ou des maquis étaient en formation des centaines de volontaires arrivèrent plus ou moins subitement et les chefs de maquis deja en manque d’équipement durent gérer l’arrivé. (manque d’argent, de vivres, d’armes etc…)

Les réfractaires au STO forment également un élément du groupe au sein duquel 35 000 évadés de France gagnèrent l’Espagne puis l’Afrique du Nord et s’engagèrent dans la France libre et participèrent à la libération de leur pays.

On ne peut cependant pas nier que dee nombreux réfractaires se contentèrent de se cacher à leur domicile ou de s’embaucher dans des fermes isolées où ils servirent de main-d’œuvre à des paysans complices.

Mers el-kébir – La tagédie

En se 3 juillet devant Oran on peut lire se type de message, Le Bretagne est ravagé par les incendies et les explosions, a chaviré, entraînant dans la mort 977 officiers et marins. A 16h53, le commandement britannique a donné l’ordre d’ouvrir le feu sur les bâtiments français !
L’ultimatum anglais laissait craindre le pire : se joindre à la marine britannique pour continuer la lutte contre l’axe ou appareiller avec équipages réduits à destination d’un port anglais, les navires étant restitués à la paix.

En cas de refus, le commandement français était invité à se saborder.

L’amiral Gensoul a refusé. Un ralliement aurait risqué de rompre l’armistice, et il ne pouvait envisager de saborder des navires intacts.

La france et l’exode mai 1940

La campagne a pris un visage d’angoisse. Larupture du front français à Sedan a jeté sur les routes toute une population terrorisée par le déluge de fer et de feu que les Stuka et les chars font pleuvoir indistinctement sur les civils et les militaires.

Charettes, bicyclettes, motocyclettes et automobiles déferlent en flot ininterrompu en direction de l’ouest et du sud.
Par leur propre spectacle et par les nouvelles ( fauses ou vraies ) qu’elles propagent, ces foules sèment la peur et la panique dans les villages qu’elles traversent.

Partout c’est une vision d’horreur que de voir ces miséreux s’abattre dans les champs ou sur les places des mairies, se bousculant autour d’un maigre repas ou dormant au soleil et se réveillant soudainement dans un cri, lorsque le bruit d’un moteur leur fait croire que les bombardements allemands ont repris.

Sur les routes de l'exode. Les civils quittent leur maison avec leurs maigres bien sur des moyens de fortune.

LA Résistance en France de 1940 à 1945

Depuis la fin du conflit nombre d’ouvrage ont compté des histoires parfois incroyables sur l’épopée d’une poignée d’homme. Anonyme ou figure emblématique tous ont compté dans la lutte contre l’occupent au péril de leur vie et cela durant cinq ans.

Lorsque l’on prononce le mot « résistance » nombres de personnes font la rapprochement avec cette période. On parle très souvent de résistance d’une population contre l’occupent après l’armistice ,mais la résistance fut beaucoup plus précoce que cela, avec la résistance héroïque ,mais parfois désespéré de nos soldats pendant la débâcle de 1940 ! (Sur un prochain article)

L’appel du 18 juin 1940 : Une date symbole, un appel à la résistance par le général de Gaulle

Lancé le mardi 18 juin 1940 au soir sur les ondes de la radio Britannique ( Consultez l’article  » la radio Britannique pendant cette période ») l’appel se terminait par ses mots « Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas« .
En 1940 après la débâcle, l’exode, l’idée de s’engager dans la Résistance n’est pas encore une préoccupation pour nombres de citoyens, l’appel est donc peut suivit.
A cela s’ajoute que les personnels à l’écoute lors de l’appel du général, la difficulté de l’identifier. Le succès de cet appel passe par le fait que ce général appel encore à continuer la guerre, qu’elle n’était pas encore perdue et que la France pouvait s’appuyer sur ses colonies pour faire face.

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Radio Londres – Ici Londres, Les Français parlent aux Français… | Un vent de libertée

Pendant les dernières guerres, la radio joua un rôle essentiel, tant pour les populations, pour les soldats ( maintien du morale avec un besoin d’informations).

Durant la dernière guerre mondiale les Allemands imposèrent la tutelle de leur propagande sur la radio des pays occupés avec une censure et un contrôle totale des ondes « officielles » en zone occupée.

Le gouvernement de Vichy devait quand à lui maintenir en zone libre ( sud ) une radiodiffusion nationale indépendante jusqu’en février 1942.
Pour tous les Français depuis l’armistice de 1940, la radio était devenue, avec la presse, asservie à la propagande allemande.

Avec la mondialisation du conflit les précurseurs furent les Anglais, qui avait dès 1938 développés ses émissions vers l’étranger ( B.B.C Radio Londres) un instrument de propagande modérée finalement très efficace mais encore sous utilisée en 1938 en France, l’Allemagne Nazi avait comprit le pouvoir des ondes avec le matraquage sur le peuple qui portera ses fruits.

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SOE en France période 1940 – 1945 – Dossier Cryptographie

Le SOE en France période 1940 – 1945

Le SOE ( Special Operations Executive, direction des opérations spéciales ) est un service secret britanique cré par Winston Churchill le 19 juillet 1940 et dissous le 30 juin 1946.

Objectifs :
# Orienter la résistance pour faciliter les grandes opérations militaires
# Espionnage
# Désinformation
# Intoxication
# Mise au point d’attentat
# Fourniture de matériel pour la résistance ( explosif, argent, instruction … )

Technique de codage Numéro 1 :

Chaque agent devait avant de quitter l’Angleterre apprendre un vers d’un Poème par cœur exemple : « comme le lierre obscur qui circonvient un tronc » .
Puis sur une base numérique (un nombre ) exemple le jour ou l’opérateur doit transmettre son message ( le 12 ). Il prendra donc pour débuter son code le 2 eme « r » de « lierre ». Il va ainsi écrire les 26 lettres de l’alphabet à partir de se « r » qui deviendra un a.
Ainsi cela nous donnera pour cette exemple.

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
R S T U V W X Y Z A B C D E F G H I J K L M N O P Q

Le service de réception et de décryptage des messages possédait bien entendu la combinaison pour chaque agent.

Conclusion :

D’un point de vu sécurité si l’agent est prit cette technique est rapidement dé codable en fonction de la résistance mental de l’agent sous la torture. On peut donc facilement infiltrer tout un réseau de résistance en se faisant passer pour l’agent en lui même avec simplement ses quelques informations. ( se qui provoqua des drames affreux mais aussi des retournement de situation incroyable et c’est la que l’histoire de l’espionnage durant cette période est passionnant j’explique par la suite pourquoi un agent retourné peut être un atout important pour le camps le possédant mais aussi pour celui qui est trahi !)

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