Platoon Sgt Ed Leonard – Troop B 3rd Platoon – 117th Cavalry Reconnaissance Squadron


“On est arrivé à Montrevel dans la brume, il devait être environ 4h du matin.

J’ai été le premier à entrer en ville avec le Lt Bill Lutye. Il faisait encore nuit.
Notre platoon a immédiatement capturé une compagnie d’Allemands qui dormaient
au rez de chaussée du batiment communal, leurs fusils bien rangés.

On était heureux! On ne se rendait pas encore compte de la portée de notre mission.

J’ai quitté le Lieutenant Lutye avec ordre de positionner mes mortiers et mes avants postes sur notre flanc gauche.
Chemin faisant., je surprend deux gars en train de dormir dans l’herbe.
Je les réveille brutalement et je leur passe un savon. L’un des deux est le Lieutenant Daniel Lee – Medal of Honor.
(Je pense toujours à ce jour que je lui dois des excuses pour son héroisme plus tard dans la journee.)

Je retourne au PC pour avoir de nouveaux ordres.

Peu après le lever du jour la bataille commence…

Les tanks allemands commencent par viser nos véhicules de ravitaillement qui se trouvent à la sortie de la ville.
Les obus commencent à pleuvoir sur notre flanc gauche, juste en dessus de nous!
Des tirs précis, des trajectoires horizontales, ils ne ratent pas leurs cibles!

Nos véhicules de ravitaillement en munition et en essence sont pulvérisés l’un après l’autre…

Notre «sortie de secours» de la ville est à présent obstruée par des véhicules en feu!

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Sgt. James P. Connor – 7th Inf. – 3rd Div. – Medal of Honor

Sgt. James P. Connor – 7th Inf. – 3rd Div. – Medal of Honor



James Phillip Connor est né le 12 janvier 1919 à Gander Hill, Wilmington, Delaware. En janvier 1942 il est appelé sous les drapeaux et effectue son basic training à Fort Bragg.
Il débarque en Afrique du Nord en novembre 1942 et participe aux combats d’Afrique du Nord, de Sicile et d’Anzio.

Alpha Red, Cavalaire-sur-Mer, 15 août 1944

La mission de sa Battle Patrol de 36 hommes est de débarquer sur Red Beach et de détruire des nids de mitrailleuses ennemis défendus par des snipers qui menacent les troupes de débarquement. Alors qu’ils posent le pied sur la plage, l’explosion d’une mine tue son lieutenant et blesse sérieusement Connor.
Sgt. Connor refuse tous soins et avec son Platoon Sergeant, ils dirigent leurs hommes à travers la plage minée sous une pluie d’armes automatiques et d’obus de 20mm. Le Platoon Sergeant est tué et Connor se retrouve en charge du groupe.

Ils progressent à présent sous les tirs de mortiers allemands et Connor est blessé une deuxième fois à l’épaule et dans le dos. Il continue a mener ses hommes et tue personnellement 2 snipers. Alors qu’ils arrivent près d’un lotissement d’immeubles, ils sont pris sous les tirs de snipers et de mitrailleuses et Connor est blessé une troisième fois; à la jambe.

Cette fois il ne peut plus se relever mais il continue malgré tout à donner des ordres et superviser l’assaut. La patrouille est à présent réduite à un tiers de son effectif initial de 36 hommes.

Ayant pris les tireurs allemands par surprise avec une telle furie, les hommes de Connor parviennent à prendre leurs objectifs, tuant 7 Allemands, prenant 40 prisonniers et détruisant 3 nids de mitrailleuses. L’action de Connor a permis de sauver de nombreuses vies américaines sur la plage en sécurisant la zone, sans interrompre les vagues successives de débarquement.

A 10:44, le Général O’Daniel et son staff débarquent sur Alpha Red. James P. Connor recevra la Medal of Honor pour son action à Cavalaire-sur-mer. Elle lui sera décernée en Allemagne en Mars 1945 et il est invité à la Maison Blanche par Harry Truman le 7 mai 1945. Connor quitte l’armée après la guerre et travaille pour la Veterans Administration jusqu à sa retraite en 1974.

James P. Connor est décédé le 27 juillet 1994.



Merci à Dogface44

S/Sgt Stanley Bender Medal of Honor Company E – 7th Infantry Regiment – 3rd Infantry Division

S/Sgt Stanley Bender Medal of Honor Company E – 7th Infantry Regiment – 3rd Infantry Division


Stanley Bender est né le 31 octobre 1909 à Carlisle, West Virginia ses parents étaient des immigrants de Lithuanie.
Lorsque la guerre éclate, Bender a 32 ans et est bien plus âgé que la plupart des recrues, ce qui a probablement contribué à sa promotion rapide au grade de Staff Sergeant.

Le 15 aôut 1944, la 7th Regiment débarque à Cavalaire sur Mer. Avant de pouvoir remonter la vallée du Rhône, la 3rd Division doit tout d’abord sortir de la péninsule de St Tropez.
Le 17 aôut 1944, la E Company du 7th Regiment se trouve à 20 miles à l’intérieur des terres, près de la Londe. Les routes sont bonnes, mais la région est montagneuse et beaucoup de cours d’eau posent chaque fois leur lot de problemes.
A 1h50 de l’après-midi, le 2nd Bn, 7th Infantry arrive près de la Londe. Il y a trois ponts statégiques à prendre intacts. Si ces ponts sont détruits, l‘avance de la Division peut être ralentie de plusieurs jours.





Le Battalion apprend qu’un barrage routier allemand se trouve non loin. Soudain, un canon antichar ouvre le feu et démolit un des chars américains qui est en support du 7th Regiment. Lorsque les mitrailleuses allemandes entrent en action, les Américains se mettent à l’abri, à l’exception de Stanley Bender…
Bender grimpe sur le char détruit et scrute l’horizon afin de localiser les tirs ennemis. Il est complètement exposé et les balles ricochent sur la tourelle du char à ses pieds. Après deux minutes, il localise les positions allemandes qui se trouvent environ à 200 mètres et finit par descendre du char. Il rejoint ses hommes et ordonne à deux squads de le suivre.
Il mène ses hommes le long d’un fossé sous les tirs ennemis. Ils sont pris sous un orage d’acier et quatre GIs sont blessés.

Bender est bien devant les deux squads et les Allemands se mettent à lui lancer des grenades.
Il tient sa position et attend l’arrivée du reste des ses hommes. Puis Bender part tout seul à l’assaut et tente de prendre les positions ennemies à revers.
Il se retrouve derrières les positions allemandes et parcourt les 40 derniers mètres sous une pluie de tirs allemands et américains!
Il arrive à environ 25 mètres de la première position allemande. Les tireurs retournent leur MG et ouvrent le feu. Bender marche calmement à travers les tirs et arrive au bord la position allemande qu’il élimine.

Il arrive près du second nid de mitrailleuse sous les tirs de grenades et tue les servants. Il ordonne à ses hommes d’avancer vers lui puis il s’avance encore de 35 mètres pour aller tuer un tireur allemand. Il revient vers ses hommes et dirige l’attaque sur le reste du barrage routier.

Son héroisme a eu un tel impact que lors de l’assaut final, ses hommes se sont tous levés en même temps et on couru à l’assaut sur les positions ennemies en hurlant!

L’action de Stanley Bender permit de prendre les trois ponts intacts, d’entrer à La Londe et d’occuper des positions stratégiques sur les hauteurs de la ville.

Au cours de l‘attaque, 2 canons anti-char allemands seront détruits, 37 Allemands tués et 26 autres capturés.

On lui attribuera la Medal of Honor selon un General Order du 1er février 1945.

Stanley Bender est décédé le 22 juin 1994.

Merci à Dogface44

L’histoire du 83rd Chemical Mortar Battalion

Lorsque la 83e Bataillon chimique de mortier a été désactivé le 26 Novembre 1945 au Camp Myles Standish à Taunton, dans le Massachusetts, on pouvait compter 39 Silver Stars, 97 bronze stars, 5 Croix de Guerre, et 876 Purple Hearts et 91 feuilles de chêne. 3 citations d’unité, 508 jours de combat, et environ 500.000 cartouches tirées.

Ils ont également soutenu 17 divisions d’infanterie, 3 divisions blindées, 2 divisions aéroportées, et des nombreux groupes de travail, y compris les Rangers et les commandos britanniques, et combattu sous 6 American Corps, 1 Corps français, 2 armées américaines, et 1 armée française.
Ils se sont battus sur deux continents et a participé à 6 campagnes, y compris les amphibies et les opérations par planeur.

Ils se sont déplacée en Sicile, en Italie, en France, en Allemagne et en Autriche. Dans des endroits tels que Gela, San Pietro, Ceppagna, Anzio, Minturno, Venafro, Briançon, les Vosges, Colmar Pocket, Zellenberg, Riquewihr.

Le bataillon a également perdu près de la moitié de son effectif dans le naufrage du LST 422, l’une des pires tragédies maritimes de la Seconde Guerre mondiale.

Gliders de la Co.D 83rd le 15 Aout avant départ

Le débarquement du Lieutenant Spaulding – Omaha Beach 6 juin 1944

Le 2nd Lieutenannt John M.spauling de la section Leader de la compagnie E du 16th Infantry débarquement le 6 juin 1944 à Omaha Beach, il y détaillera son débarquement.

Nous sommes passées des transports aux LCVP à 3heures du matin. Les compagnies étaient alors divisées en groupe d’embarcation, et chaque péniche emmenait 32 hommes, dont un Medic et les deux marins la manoeuvrant. J’étais chef de la première équipe de la compagnie E. Nous étions dans la première vague d’assaut. Mon adjoints était le T/Sgt Philip Streczyk. Ce sous-officier, qui sera blessé au cours des combats de la forêt de Hurtgen en Allemagne, était le meilleur soldat qu’il m’est été donné de côtoyer. Il était entré dans l’armée comme appelé et avait gravi les échelons jusqu’à devenir platoon sergeant. il était des débarquement à Oran en Algerie et en Sicile. Si nous avions eu plus de gars comme lui, la guerre aurait durée moins longtemps.
La mer était vraimment grosse quand nous avons pris la place dans les LCVPs.
A cause de cette mer formée, la manoeuvre nous a pris bien plus de temps que lors des exercices. une fois dans les péniches, nous sommes allés vers un point de rendez-vous en mer. Ici, les marins ont commencé à nous faire tourner en rond encore et encore. Nous étions trempés jusqu’aux os. De nombreux soldats étaient déjà malades.

Vers 4 heures, nos bateaux se sont rassemblés et se sont mis en formation en V vers la côte. En avançant vers la plage, nous distinguions d’autres barges de débarquement autour de nous et pouvions entendre quelques avions au-dessus de nos têtes. Entre 5h45 et 6h00 nous avons vu les premiers éclairs sur la côte.
Nous ne savions pas si il s’agissait des bombardements de l’aviation ou si c’était l’artillerie allemande. Vers 6h15, le rivage apparut devant nous. A partir de 6h30, les premiers navires ont commencé à tirer, mais la plupart de leurs coups tombaient dans l’eau.
Entre les tirs de l’arttillerie de marine, levant poussière et débris.

Et la brume du matin, il devenait difficile d’entrevoir la côte. Voilà qui semblait déjà compliquer la manoeuvre des marins pour nous amener à bon port, et au bon endroit.
En approchant, le bruit sur la mer comme celui venant de la côte s’amplifiait. Nous dépassions plusieurs canots gonflables avec des hommes à leur bord. C’était les équipages de chars DD qui venaient de sombrer.
A un peu moins d’un kilomètre du rivage, nous étions déjà la cible de tirs de mitrailleuses mais heuresement sans réelle efficacité.
Approchant encore de la côte nous avons atteint notre ligne de départ pour l’attaque: les péniches de numéro imair se plaçaient en ligne d’un côté et les péniches paires de l’autre puis se lançaient dans cette formation vers la plage.
Nos instructions étaient de débarquer juste à droite d’une maison qui marquait la limite gauche de mon secteur. Nous devions franchir le fossé antichar à proximité de la sortie de plage E-1 et gravir le dénivelé vers le plateau.
Après ca nous devions envoyer des patrouilles vers Saint Laurent sur Mer pour établir le contact avec la compagnie E du 116th Regiment, qui était supposée débarquer à notre droite, puis pousser jusqu’à une hauteur au delà de ce village.
L’aviation devait avoir entre temps détruit les défenses sur et au dessus de la plage, de telle sorte que nous puissions débarquer sdans trop de difficulté.

6H30
Vers 6H30 le signal a été donné et nous avons démarré. A moins de 200 mètres de la plage la péniche a stoppé et un marin nous a crié de descendre. Le S/Sgt Fred A. Bisco et moi même sommes sortis. Un peu avant un matelot avait commencé à tirer avec mitrailleuse. Désomais nous ne subissions plus seulement les tirs de MG mais aussi les mortiers et quelques coups d’artillerie. Nous avons débarqué à marée basse et le nombre d’obstacles était considérable.
Ils dépassaient de l’eau et nous pouvions apercevoir des Tellermine sur la plupart d’entre eux. Aucun passage n’était dégagé et nous zigzagions au milieu. Il m’est difficile de dire si les marins auraient pu nous amener plus loin. Ils auraient probablement pris le risque d’échouer les bateaux sur un banc de sable.
Parce que nous transportions tant d’équipements et parce que j’avais peur que nous soyons lâchés dans des eaux encore profondes, j’avais demandé à mes gars de ne pas me suivre avant que j’ai pu moi même tester la hauteur de l’eau. Je sautai légèrement à gauche de la barge; l’eau m’arrivait à peu près à la taille. Il était autour de 6h45. Les hommes m’ont suivi. Nous avançions vers la plage et les tirs d’armes légères se renforçaient. Nous voyions d’autres chalands sur la gauche mais rien sur notre droite.
Nous étions le flanc droit de l’attaque de la 1st Division. Nous avions bien vu quelques tanks débarquer mais nous ne savions pas exactement ce qu’ils étaient.
On s’est déployé en V sur une largeur d’une cinquantaine de mètres. Mais bientôt nous avons senti le sol se dérober et n’avions plus pied, nous avons alors tenté de nager. Heuresement, ma bouée de sauvetage m’a sorti de ce mauvais pas, mais j’y ai perdu ma carabine! Personne ne s’est noyé, mais seulement parce que les gars se sont entraidés ou parce qu’ils étaient parvenus à se défaire de leurs équipements. Un fort courant nous entraînait sur la gauche.

Premières pertes
Strczyk et le Medic ( Private George Bowen ) transportaient une échelle d’un peu plus de cinq mètres qui devait nous aider à franchir le fossé anti char ou des obstacles du même genre. Ils luttaient avec dans l’eau au moment ou j’avais le plus de mal à surnager. Quand l’échelle me passe à portée je la saisis. Streczik me hurla:  » Lieutenant nous n’avions pas besoin d’aide ».

A cet instant, Dieu sait que c’est moi qui avait besoin d’aide! Je leur ordonnai de laisser tomber l’échelle. Parvenant enfin à reprendre pied, nous avions l’eau à hauteur de la bouche. J’avais l’impression d’avoir bu la moitié de l’océan et toussais à m’en étouffer. Nous avons sauvé le sergent Edwin Piasecki qui était sur le point de se noyer. Puis c’était au tour du PFC Vincent DiGaetano, qui portait les trente kilos du lance-flammes de crier: » Je me noie ! Qu’est ce que je fais de ce ( foutu) lance-flammes? ». Streczyk lui répondit de le balancer et il le fit. En plus des lances-flammes et de ,ombreuses armes individuelles, nous avions perdu nos deux mortier et la plupart de ses obus, un de nos deux bazookas, et pas mal des munitions également. Malgré tout, aussitôt sur la plage, les hommes qui étaient parvenus à garder leur arme étaient tout de suite prêts à faire feu. Les formidables Garand avaient supporté l’épreuve !
Sitôt arrivés, je scrutai l’horizon et vis une maison qui ressemblait exactement à celle que nous devions atteindre. Je me suis dit: »Bon sang, ces sacrés marins ont tapé en plein dans le mille ». Puis j’ai compris que nous avions débarqué près d’une autre maison presque à 1,5 kilomètre à l’est.
A peine sur le sable, le private William C Roper a été blessé au pied. Il essaiyait de retirer sa guêtre, mais ne parvenait pas à la délacer, je l’ai alors aidé à la retirer. Un de mes deux tireurs BAR, le Pfc Virgil Tilley, a été durement touché à l’péauple droite par un éclat d’obus.
En haut de la plage et en me retournant je remarquai qu’un certain nombre de mes garrs étaient encore sur le sable, tous debout et avançant lentement. Ils étaient bien trop trempés pour courir. Ils donnaient l’impression de marcher dans la tempête face au vent.
Nous avons traversé la bande de galet en direction de la maison dérrière le rivage. Nous nous sommes d’abord arrêté à hauteur d’un bâtiment détruit entouré de quelques épais buissons. Là, nous étions bloqués au pied de la pente menant vers l’intérieur par un champ de mines. Ma section était dispersée; les gars s’étaient déployés dès l’instant ou ils avaient atteint la plage.
Nous avions franchi des barbelés, mais je ne m’en étais pas rendu compte, j’étais encore dans une sorte d’état second, et ne voyais pas non plus toutes ces mines, à part les antichars au début de la plage. C’est le S/sgt Curtis Colwell qui avait ouvert le passage avec un Bangalore.
Mon estafette, le Pfc Bruce S. Buck m’avait rejoint. C’est là que j’ai essayé de contacter la compagnie E avec ma radio. Je pris mon talkie-walkie et tout en marchant, parvins à déplier l’antenne, mais il ne fonctionnait pas.




Debarquement à Omaha beach la sanglante

L’histoire de la 82nd division aéroportée en couleur – Story of the 82nd Airborne Division

Sur les sites d’archives videos, photos on peut tomber sur des documents plutot rarissime ou peut/pas encore vu.
La ou les américains surpassent les Francais c’est dans le domaine du devoir de mémoire, les sites d’archives grouilles de videos, photos d’époques sympathiques à regarder et à éplucher pour les collectionneurs, reconstitueurs.

Se film raconte avec des images couleurs/noir et blanc toute l’histoire de la 82nd Airborne US de entrainement des hommes au passage par la Normandie et tout la reconquête de la France, les images sont peut connue et très très instructivent !

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Paroles de Combattants – Temoignages Soldats- La bataille des Ardennes

En automne 1944, Hitler sait qu’il ne peut plus espérer défendre son Grand reich allemand contre les Alliés et l’armée rouge. Il décide donc, avant de déchaîner toute sa furie sur la Russie de tenter une opération désespéré et lance une offensive majeure à l’Ouest. Nombres de témoignages confirme qu’il était conscient que ceci était l’opération de la dernière chance. La propagande de Goebbels n’était la que pour maintenant le peuple derrière leur « fuhrer » qui les conduira au massacre. Folie et mégalomanie d’un homme qui à scié la branche sur laquelle il était assit.

Il décide donc d’envoyer 3 armées ré équipé à la hâte à travers le faible réseau de défense des Ardennes belges que les alliers pensaient infranchissable par une armée de blindé.
L’effet de surprise est totale pendant les premiers jours de l’offensive, elle sème le trouble et la confusion avec des opération comme celle de Skorzeny ( prochain article ).

Voici quelques témoignages d’homme de troupe, sur place à l’époque de l’offensive.

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Massacre de Malmedy ( Baugnez ) – Bataille des Ardennes Decembre 1944


Massacre de Baugnez – Histoire qui diffère

On peut également le nommer « Massacre de Malmedy ».

Une cérémonie était organisé au mémorial de Baugnez pour commémorer la souvenir du massacre de Malmedy par la colonne SS de Peiper le 17 décembre 1944.

Crime de guerre devenu symbole, symbole d’une bataille absurde pour une guerre dont l’issue était déjà scellée. Nombres de versions sur se massacre ont été comptée.
Divers témoignages de témoins de l’époque, semble toutefois aujourd’hui faire la lumière sur certains passages sombres.

– Il y à bien eu crime de guerre avec exécution de prisonniers de guerre.
– Aucune tentative avant les premières exécutions n’a été tentée
– Nombres ont reçu le coup de grâce d’une balle dans la nuque
– Divers témoignage de survivants se complète sans qu’ils n’aient eu l’occasion de se concerter

Un combat de forces inégales c’est dans la journée du 17 decembre 1944 en début d’après midi que la première colonne de la 1e Division Panzer SS approche du carrefour, celle ci croise un convoi américain d’une trentaine de véhicules, composé essentiellement d’éléments du 285e bataillon d’observation d’artillerie qui vient de franchir le carrefour et s’engage sur la route, direction Ligneuville en vue de gagner Saint-Vith où il doit rejoindre la 7e division blindée.

Ayant aperçu les véhicules les premiers éléments de la colonne de Peiper ouvre le feu en direction du convoi américain pour immobiliser les véhicules de tête et de queue en deux endroits différents, forçant le convoi à s’arrêter et à livrer bataille.

Se régiment non destiné au combat direct était dépourvus d’armes lourdes ne pouvant donc opposer aux Allemands que des armes légères cessent donc rapidement le combat et se rendent.

Pendant que la première colonne allemande poursuit sa route vers Ligneuville, les nouveaux prisonniers auxquels les Allemands ont joint d’autres hommes capturés durant la journée, sont amenés dans une prairie le long de la route.

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Article Historique – L’invasion de la Finlande par L’union soviétique – La guerre d’Hiver

La guerre d’Hiver

Belligérants Union soviétique – Finlande
Date 30 novembre 1939-13 mars 1940
Forces en présence Les chiffres sont peut fiable on peut néanmoins dire qu’elle était de 1 contre 4 pour L’union soviétique.

Elle à éclaté en Novembre 1939 suite à l’invasion de la Finlande par L’union soviétique. L’origine de se conflit est la crainte par les Russes que les allemands n’utilise la Finlande comme tête de pont pour envahir la « sainte Russie » et surtout toucher directement le symbole qu’est la ville de Leningrad.


Dès 1938 la Russie tente donc d’entreprendre des négociations avec la Finlande pour renforcer leurs défenses mutuelles malgré le pacte de non agression signé avec l’Allemagne en aout 1939.
Depuis la signature, Staline qui n’accorde aucune confiance aux paroles de son allier d’un jour « Hitler », il n’a simplement signé se pacte pour éviter l’éclatement d’un conflit pour lequelle la Russie n’est pas prêt militairement.
Hitler quand à lui trouve également son compte dans la signature de se pacte avec son pire ennemis idéologique en évitant simplement l’ouverture d’une second front à l’est.

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